Des lieux ouverts à tous pour apprendre, agir et vivre l’écologie au quotidien.
Les Maisons d’Écologie Populaire (MEP) sont des lieux ouverts à toutes et tous pour comprendre les enjeux écologiques, s’engager localement et construire des communautés résilientes. Ces espaces conviviaux et solidaires permettent de transformer les initiatives individuelles en actions collectives et durables.
Face à une crise écologique systémique et à des inégalités environnementales et sociales, PikPik Environnement a choisi depuis 2024 de s’ancrer dans l’écologie populaire. Notre objectif : comprendre pour agir ensemble et fédérer des communautés locales autonomes autour de lieux physiques ou itinérants.
Qu’est-ce qu’une Maison d’Écologie Populaire ?
Les MEP sont des espaces de rencontres, d’échanges et d’initiatives locales, ouverts à tous les acteurs du territoire : habitants, associations, élus, acteurs privés et institutions publiques. Elles sont au cœur du programme « Fédérer des communautés locales et résilientes » et permettent de catalyser des projets collectifs pour la transition écologique et solidaire. À terme, chaque MEP vise à autonomiser les communautés locales.
Exemple : la « Fabrique d’Issy » (Issy-les-Moulineaux), ouverte en 2021, est aujourd’hui auto-gérée par un collectif local d’habitants et bénévoles, toujours accompagné par PikPik.
Une démarche inclusive et collaborative
1. Co-construction et écologie inclusive
Les habitants sont au cœur des décisions. Certains deviennent bénévoles PikPik pour organiser le lieu, la programmation et les activités.
2. Thématiques adaptées au territoire et aux habitants
Les activités sont conçues en fonction des priorités locales, allant de l’écologie de soi à l’adaptation aux changements climatiques, en passant par l’intégration professionnelle dans l’Économie Sociale et Solidaire (ESS).
Les Maisons d’Écologie Populaire ont besoins de vous !
Le monde associatif traverse une crise sans précédent. Selon une enquête nationale de septembre 2025, près de 70% des associations employeuses ont des fonds propres fragiles ou inexistants, et 30% disposent de moins de trois mois de trésorerie, dont 5% aucun. Dans ce contexte, près de 90 000 emplois associatifs sont menacés.
Les financements publics diminuent, les subventions se font attendre, et les besoins sociaux et environnementaux continuent de croître. Chaque jour, des associations doivent réduire leurs activités ou licencier du personnel.
Chaque don compte pour permettre à ces lieux de perdurer et de continuer à agir pour la planète.
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