Les quartiers populaires subissent une triple peine
« Ce qui est fait pour nous sans nous est fait contre nous »
– Nelson Mandela
Les habitants respirent un air plus pollué, subissent bruit et chaleur, et vivent souvent dans des logements mal isolés.
Paradoxalement, ce sont ceux qui consomment et polluent le moins.
Les risques climatiques sont amplifiés :
La santé et le bien-être y sont mis à rude épreuve chaque jour.
Moins de médecins, transports plus rares, accès aux droits plus difficile.
Commerces fermés, espaces publics mal entretenus, précarité énergétique accrue.
Cette sous-dotation crée un sentiment d’abandon et renforce l’exclusion sociale.
Les habitants sont rarement entendus : absents des conseils, commissions, concertations.
Leur parole est consultée pour la forme mais leurs besoins sont ignorés.
“Ma liberté n’a de sens que si elle sert à libérer les autres”
– Gisèle Halimi –
Avec nos Maisons d’Écologie Populaire (MEP), nous créons des espaces où les habitants peuvent :
L’action locale transforme le quotidien et renforce la communauté.
Les femmes et les jeunes sont des leviers du changement.
Nous défendons leur accès à l’éducation, la formation et l’information, et les impliquons directement dans nos projets.
La précarité alimentaire, la malbouffe et l’exposition à la pollution ne doivent pas être la norme.
Nous sensibilisons, formons et outillons les habitants pour qu’ils deviennent acteurs de leur bien-être.
Nous ne nous contentons pas de dénoncer les injustices.
Nous mobilisons, formons, accompagnons.
Chaque projet, chaque atelier, chaque campagne construit des communautés autonomes, résilientes et solidaires.
Le lien social est une force. Nous le renforçons, l’amplifions, le rendons visible.
Soyez acteur·rice du changement.